Il y a dix ans jour pour jour, dans son deuxième numéro de février 2006[1] alertant sur le déclenchement imminent d’une « crise systémique globale », le GEAB se fondait sur l’identification de deux signes forts : la fin de la publication de l’indicateur de masse monétaire M3[2] (suggérant la mise en route à des degrés inhabituels de la fameuse « planche à billets verts » dont on n’a plus arrêté d’entendre parler depuis) ; et le lancement par un Iran – non encore contraint par les sanctions internationales – d’une bourse du pétrole en euros[3]. Ces deux signes forts permirent à l’équipe du GEAB de l’époque d’affirmer que quelque chose d’énorme se préparait qui allait questionner les fondements du système dans lequel le monde économico-financier vivait à l’époque, soit le système du pétrodollar et de l’argent-dette…
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