Notre équipe l’avait anticipé : l’explosion des tensions au Moyen-Orient aurait un impact rapide sur les sociétés européennes, faisant courir de grands dangers à nos démocraties.
La crise ukrainienne, nous l’avons souvent répété, bien au-delà de la valeur intrinsèque des individus qui le composent, a révélé la faiblesse structurelle d’un système politique européen techniquement déconnecté de ses citoyens. La grande peur que l’Europe s’est faite en 2014 de ne pas réussir à s’empêcher d’entrer en guerre avec un voisin, aboutit en 2015 à un vrai retour du politique : une Commission Juncker décidée à légitimer politiquement ses décisions, des gouvernements nationaux enfin conscients de leur besoin d’union politique, des citoyens ultra-mobilisés…
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